Des textes écrits à quatre mains répondent, tout en finesse, aux silhouettes de corps de femmes mises à nu.
« Et si la femme portait le monde à bout de tête Et si l'homme n'avait que ses bras Pour tâcher d'en être »
« Et si la femme portait le monde à bout de tête Et si l'homme n'avait que ses bras Pour tâcher d'en être »